UME, Chexbres

Ouvert en 2012, le UME est un restaurant asiatique qui propose une cuisine chinoise et japonaise à Chexbres dans l’ancien établissement Chez Yoshi qui était déjà un japonais connu dans la région. Le UME a des similitudes avec les restaurants Bambou présent dans diverses villes de Suisse Romande, puisque le couple de restaurateurs du UME a travaillé au Bambou de Pully, elle en salle et lui en cuisine.

Chexbres est une petite commune située entre Lausanne et Vevey, le UME est à deux minutes de la gare, juste au-dessus en empruntant le petit chemin près du parking. D’ailleurs, le parking de la gare est hyper pratique, assez grand avec toujours une place de libre. L’établissement est assez petit, deux salles, deux ambiances, un plus café, l’autre plus restaurant et aussi une terrasse. Ils sont ouverts du lundi au samedi, midi et soir, fermé les dimanches.

La carte propose des mets classiques de la cuisine chinoise et japonais et un bon choix de sushis.

Exemples de prix :
– Coca-Cola 33 cl. (4.50 chf)
– Henniez 50 cl. (4.70 chf)
– café (4 chf)

UME
Rue du Cotterd 2
1071 Chexbres
+41  21 946 12 03
www.umerestaurant.ch

Crédit photo : foodaholic

 29 mars 2023

Mercredi, 19 heures, trois personnes avec réservation.

Je suis venu accompagner de deux amis et à 19 heures, le restaurant était déjà bien rempli, on mange sacrément tôt ici et il y avait de nombreuses commandes à l’emporter, ce qui a provoqué un début de repas un peu lent.

Il y avait deux serveuses, des nouvelles, car c’est la première fois que je les vois. Un service correct, gentil, mais peu efficace par moment

En entrées, nous avons choisi des edamame (9 chf), soupe miso (7 chf), potage aigre piquant (8 chf) et brochettes de poulet (10 chf).

Pour commencer, une petite mise en bouche avec une salade de calmar, celle de couleur orange que l’on trouve un peu partout. C’est une salade prête à l’emploi, mais cela reste bon et gourmand.

Nos entrées sont rapidement arrivées. Les edamames à neuf francs, ça ne rigole pas, surtout sans fleur de sel. Le potage aigre piquant était correct, agréable, bon, mais assez classique, banal. Les brochettes de poulet étaient bonnes, tendres et bien nappées de sauce, mais elles m’ont fait beaucoup penser à des brochettes industrielles, surtout à cause de la texture de la viande et de la forme de la brochette.

En plats, nous avons pris des sushis. Maki saumon épicé (8 chf), saumon-avocat (8 chf) , thon épicé (10 chf), des sashimis saumon (16 chf) et sériole (19 chf), un california crevettes panées (17 chf), nigiri anguille (10 chf), maquereau (9 chf), omelette (6 chf), thon épicé (10 chf).

Dans l’ensemble, les sushis étaient corrects, bons.

En dessert, nous avons craqué pour un beignet banane (10 chf), des beignets japonais (11 chf) et une simple boule de glace haricots rouges (3.50 chf).

Pour résumer, je connais assez bien les tenanciers, ils choisissent de bons produits, mais je trouve que la qualité baisse peu à peu au fil des ans, c’était mieux à leur début. Néanmoins, ils ont une bonne réputation, ça ne désemplit pas et les commandes à l’emporter marche bien.

5 entrées, 3 maki, 1 temaki, 2 sashimi, 8 nigiri, 1 california, 3 desserts, 5 minérales, 1 café :  ~ 215 frs. pour trois personnes.

Kozan, Genève
Kozan, Genève
Kozan, Genève
Kozan, Genève

La Jonque, Lausanne

La Jonque est un assez ancien restaurant chinois familial de Lausanne qui se situe entre la gare et Ouchy, pas loin du parc de Milan. Si je ne me trompe pas, l’actuel chef et patron a repris l’établissement vers 2013. Mon dernier repas était en 2012 avant le changement de propriétaire.

L’établissement est de taille moyenne avec environ une cinquantaine de places. Un cadre assez typique asiatique, pas trop chargé. Ouvert du lundi au samedi midi et soir, dimanche soir, fermé dimanche midi.

Une carte classique de mets chinois orientés cuisine cantonaise, quelques plats assez intéressants.

Exemples de prix :
– potage aigre piquant (11 chf)
– boeuf croustillant (29 chf)
– Coca-Cola 33 cl. (4.30 chf)
– café (3.60 chf)

La Jonque
Avenue de Cour 15
1007 Lausanne
+41 21 616 55 11
www.lajonque.com

Crédit photo : foodaholic

6 mars 2023

Lundi, 13h00, en solo sans réservation.

13 heures, c’était encore passablement rempli. Une seule personne en salle, une très jeune femme, voire une adolescente, probablement la fille du patron. Un service gentil, un bon français, pas mauvais, mais on ressent « une grosse envie de ne pas être là ». Le chef est sorti de la cuisine faire un peu de service, saluer ses clients, vêtu d’une tenue complète de cuisinier comme il est exigé. 

J’ai eu directement la carte avec les plats du jour, j’aurais bien voulu voir le menu à la carte, mais je n’avais pas le sentiment que je l’aurais eu avec le sourire.

J’ai pris l’un des plats du jour à choix, c’était du poulet au basilic (18 chf), riz sauté avec une entrée (crevettes panées ou salade). C’était plutôt bon, bien servi, le poulet était tendre et bien assaisonné. Le riz sauté avec oeuf et petits pois était bon. Leur recette de poulet au basilic ressemble beaucoup à celle du Canard Pékinois.

La Jonque, Lausanne
La Jonque, Lausanne

Pour résumer, un restaurant chinois sympathique proposant une cuisine cantonaise, ce qui est de plus en plus rare dans le coin, des prix dans la moyenne, dommage pour le service loin dêtre chaleureux, voire un peu froid.

1 menu du jour, 1 minérale, 1 café : ~25 francs pour une personne.

Hungky, Genève

Le Hungky est un restaurant chinois ouvert en 2017 à Genève qui est situé à cinq minutes de la gare, derrière la rue du Mont-Blanc. Létablissement est plutôt récent, mais leur nom est plus ancien, ils étaient à un autre emplacement pas très loin de l’actuel mais qui a brûlé. C’est d’ailleurs devenu aussi un établissement chinois.

L’établissement est de petite taille, c’est serré avec une cinquantaine de places. Un cadre chinois assez dans le temps favorisant le nombre de places et mettant de côté la décoration.

Une belle carte de mets avec les classiques et pour une fois, des plats plus particuliers qui ne sont pas du nord avec plein d’huile et de piment, ce que j’apprécie beaucoup plus. Attention aux prix, ceux sur leur site web sont « à l’emporter » ou « à livrer » et ceux qui sont sur Google dant de 2021 ont subis la hausse de prix. Par exemple le poisson vapeur à 33 francs est maintenant à 34.90 francs.

Exemples de prix :
– menu du jour (20.90 chf)
– Coca-Cola Zero33 cl. (5.00 chf)

Hungky
Rue Chaponnière 3
1201 Genève
+41 22 732 20 77
www.hungky.ch

Crédit photo : foodaholic

8 mars 2023

Mercredi, 12h00, à deux sans réservation.

Le service était rapide, francophone, il y avait trois ou quatre personnes, plutôt nombreux pour une salle pas si grande que cela, de plus pas que des asiatiques, ce qui est assez rare dans la restauration asiatique. Peut-être un manque de main d’oeuvre ou une volonté de toucher une clientèle plus francophone ou internationale.

C’était passablement plein. Une clientèle variée, toutes nationalités, tout âges. Un restaurant qui attire tout le monde.

Par contre, le service manque un peu manque de sympathie, car nous avions une petite table pour deux et avec le nombre de plats commandés, c’était trop serré. Au début, ils ont bien voulu nous laisser la table adjacente mais on nous la repris avant la fin de notre repas qui resteras vide lors de notre départ. Dommage de traiter de la sorte des clients qui apportent plus de chiffres d’affaires que la moyenne des clients de midi qui mangent un simple plat du jour.

Nous avons commandé des raviolis vapeur Ha Kao (9.50 chf), des aubergines et petites crevettes séchées (17.90 chf) au sel et poivre, des langues de Canard (17.90) au sel et poivre, une daurade entière au gingembre (34.90 chf) à la vapeur et deux bols de riz nature (3 chf). Cela fait pas mal de sel et poivre, attention au sel, en consommer trop n’est pas bon pour la santé !

Les raviolis aux crevettes étaient plutôt bons, un classique, j’en mange pas souvent, je ne saurais dire s’ils sont faits maison. J’ai bien aimé les aubergines légères, fondants et croustillantes avec les petites crevettes séchées apportant une touche salée. Les langues de canards étaient bonnes, bien frites, croustillantes, pas trop grasses, un plat gourmand, même s’il n’y a pas grande chose « à manger », comme des pattes de poulet. Dommage pour la daurade, correcte, mais sans plus, je l’ai trouvé légèrement trop cuite.

Hungky, Genève
Hungky, Genève
Hungky, Genève
Hungky, Genève
Hungky, Genève

Pour résumer, un établissement chinois plutôt sympathique avec une carte orientée plus « cantonaise » avec moins d’huile et de piment, elle me plait assez  et ça change de la cuisine sichuanaise à la mode en ce moment. La cuisine dans l’ensemble était bonne, dommage pour le poisson vapeur qui n’était pas mauvais, correct mais pas inoubliable. Les prix sont attirants, mais le service est un peu brusque, on sent qu’ils cherchent à remplir au max les tables sans penser au comfort des clients.

1 entrée, 3 plats, 2 accompagnements, 2 minérales : ~95 francs pour deux personnes.

Dong Fang, Lausanne

Le Dong Fang est un restaurant chinois à Lausanne qui a me semble avoir ouvert fin 2017 et qui est spécialisé dans les nouilles. Je l’aurais pensé plus vieux, mais les infos du web m’indiquent cette cette péride. Il est situé au centre ville, proche de la gare, dans les anciens locaux du San Marino pour ceux qui s’en souviennent, un restaurant italien gastronomique fort bien connu et présent depuis de nombreuses années.

Le Dong Fang s’est associé depuis fin 2020 avec China Domicile, une association peu claire, ils semblent partager les locaux et les cuisiniers, mais ils ont des sites web et numero de téléphone et des cartes différentes, l’un fait la livraison, l’autre de la restauration sur place et à l’emporter ?

C’est un établissement de taille moyenne d’une soixantaine de places. Il y a des énormes tables en bois massives de six places qui font un peu taverne chinoise, mais un peu, car la présence de climatiseur en été, les éclairages aux néons, l’aspect neuf, tout cela brise un peu le côté restaurant vieux authentique.

Ils sont ouverts du lundi au samedi et dimanche soir, horaires coupés, fermés les dimanches midi..

La carte propose surtout des nouilles et un choix classique, mais limité de plats chinois, plutôt étonnant, pas de viande déclinée avec dix sauces. Il y a aussi un buffet à gogo à midi, de la fondue chinoise et une carte de mets atypiques et bien canailles, mais malheureusement écrite en chinois.

Exemples de prix :
– potage aige piquant (9 chf)
– boeuf croustillant (28 chf)
– thé jasmin, théière (6.50 chf)

2 janvier 2023

Lundi, 13h00, en solo sans réservation.

Un lundi 2 janvier à midi, il n’y a pas beaucoup d’endroits ouverts. Mon dernier repas au Dong Feng date de février 2022 et j’avais mangé la même chose, des nems et un poisson vapeur, comme quoi, mes goûts n’ont pas changé.

J’aurais mieux fait de me souvenir de leurs nems (9.50 chf). Trois rouleaux servis sans feuilles de salade, ni menthe, de plus ceux qui aiment allégrement les tremper dans une abondance de sauce, risquent d’être un peu déçus. De la salade il y en avait un peu, un peu de verdure émincée avec une sauce sans goût distinctif.

Palace Sushi Zen, Lausanne

Le poisson vapeur (58 chf) était pas mal, plutôt bien préparé, mais assez cher. Bien écaillé, vidé proprement, une jolie garniture, peut-être un poil trop cuit à mon goût pour la partie côté en bas. Pas trop d’huile, mais j’ai trouvé la sauce un peu trop sucrée, de plus il y avait parfois un goût de haricots noirs, ce qui est bizarre, mais vu que le plat du jour était du boeuf aux haricots noirs … je soupçonne un petit souci de nettoyage de couteau ou de planche ?

Le riz nature (3 chf) était bien servi, bien cuit. un bol un peu plus grand que la moyenne.

Entre nous, 58 francs, c’est très cher payé, car un poisson d’élevage, entier, loup ou daurade, c’est assez abordable aux supermarchés, encore plus chez Aligro.

Palace Sushi Zen, Lausanne
Palace Sushi Zen, Lausanne
Palace Sushi Zen, Lausanne

Pour résumer, c’est un lieu très prisé par la clentèle asiatique, peut-être pour sa proximité avec la gare, ses nouilles ou ses plats chinois particulier. mais probablement pas pour les prix, trop élevé pour la clientèle chinoise, touristes ou étudiants.

Personnelement, je n’y vais que pour le poisson entier à la vapeur, même si le prix est très élevé, la préparation, la cuisson, la quantité sont plus que correctes.

1 entrée, 1 plat, 1 riz, 1 thé : ~75 francs pour une personne.

Dong Fang
Avenue de la Gare 20
1003 Lausanne
+41 21 312 70 30
www.dong-fang.rest

Crédit photo : foodaholic

Tao Yuan, Vevey

Premier repas au Tao Yuan à Vevey qui est un restaurant chinois tenu par la même famille depuis 2000. Il est situé à quelques minutes de la gare, c’est un petit restaurant familial, une carte classique, des prix dans la moyenne supérieure.

L’établissement est assez petit avec environ une quarantaine de places. Je devine que les lieux ont été rénovés, il y a quelques années. Un cadre plutôt atypique pour un restaurant chinois, car c’est un style assez occidental, simple et contemporain, mobilier sobre, des tons foncés, tout en gardant de belles décorations chinoises comme cette réplique d’un habit de l’empereur mis en valeur dans un tableau cadre géant. Ils sont ouverts du lundi au samedi, horaires coupés, fermés les dimanches.

La carte est assez sympathique, très classique avec quelques petites surprises, rien d’exceptionnel en soi, mais qui peuvent faire plaisir comme des cuisses de grenouille, une sole vapeur ou simplement une omelette aux oignons.

Exemple de prix :
– rouleau de printemps (8 chf)
– potage aigre piquant  (9 chf)
– boeuf croustillant (28 chf)
– Coca-Cola 33 cl. (4.80 chf)
– thé, théière. (5 chf)
– café (3.80 chf)

17 décembre 2022.

Samedi, 12h00, en solo, sans réservation.

Pas grand monde à mon arrivée, mais la salle s’était rempli peu à peu. Trois personnes en salle dont la patronne, un service sympathique, souriant, bilingue.

Les classiques chips de crevettes en mise en bouche.

En entrée, j’ai pris des nems (15 chf), 4 rouleaux (farine de riz) farcis au porc et légume, servie avec de la menthe et des feuilles de salade type laitue que je préfère plus pratique que la iceberg, car plus facilement enroulable autour du nem.

C’était excellent avec le petit plus. Cela faisait longtemps que je n’avais pas eu le petit « tient, c’est particulièrement bon ? ». Les rouleaux étaient légers, croustillants, presque aériens. La farce était bonne, mais un peu « maigre et sèche » à mon goût, je préfère quand il y a une viande un peu plus de grasse.

La Bruschetta, Lausanne

En entrée, j’ai aussi pris des calamars frits (15 chf), plus par envie, par gourmandise que par faim. Une texture ferme et souple, enrobage croustillant, des goûts légèrement relevés, j’aime beaucoup ce genre de combinaison.

C’était bon, gourmand et plutôt copieux. De bonnes grosses lamelles de calamar bien épaisses, pas toujours facile à manger avec des baguettes, ça glisse un peu.

La petite salade qui accompagnait le plat était composée de chou et de carotte avec une sauce vinaigrette et sésame, sympa, mais je n’en suis pas fan.

La Bruschetta, Lausanne

En plat, une sole vapeur au soja (38 chf) avec un riz nature (3.50 chf). J’étais très content de voir ce plat à la carte, surtout à 38 francs, qui est une affaire comparé Au Canard Pékinois (50 chf) ou au Dong Fang (58 chf).

J’ai apprécié que l’on me propose avec ou sans arrêtes, cela n’arrive pas souvent dans les restaurants chinois. Malheureusement, le plat en soi était un peu décevant. Déjà les morceaux de poireaux crus, ça fait très cheap, autant ne rien mettre. Le souci était la chair, je l’ai trouvé dense, trop ferme, compacte, c’était une sensation peu agréable en bouche, je ne pense pas que cela soit un problème de cuisson, mais je m’attendais plus à une chair tendre et moelleuse. Par contre, j’ai été surpris par la sauce soja, plutôt agréable, parfumée, corsé, avec un goût de champignons ou noix de saint-jacques.

Il est certainement peu probable que l’on utilise une belle sole de ligne de Bretagne, mais plus une espèce de sole bien plus abordable, ce qui n’est pas une excuse, car on peut sortir d’excellent poissons vapeur avec une simple et bête daurade d’élevage de Grèce à moins de 10 frs./kg.

La Bruschetta, Lausanne

Pour résumer, la sole vapeur est à oublier, mais les nems valent le détour, en plus le cadre et le service très occidentaux plairont surement à certains.

2 entrées, 1 plat, 1 thé, 1 café : ~ 80 chf. pour une personne.

Tao Yuan
Rue de la Clergère 2
1800 Vevey
+41 21 921 20 33
www.restaurant-chinois-tao-yuan.ch

Crédit photo : foodaholic

Chinatown, Lausanne

Le Chinatown est un très ancien restaurant chinois à Lausanne qui a ouvert en 1985, il y a de fortes chances que le patron actuel soit celui d’origine, mais je n’en suis pas certain. C’est un établissement très bien situé dans l’hypercentre, accessible, joli cadre asiatique propre et bien entretenu, une carte classique, des prix moyens supérieurs.

Le restaurant est assez grand avec au moins soixante couverts et une jolie terrasse. Le cadre est assez typé, très chinois, des tons sombres en bleu, rouge et noir, bien entretenu au fil des ans, c’est propre. Ils sont ouverts du lundi au samedi, horaires coupés, fermés les dimanches.

La carte met en avant une cuisine fait maison avec des vins de la région. Plats du jour, assiettes de la semaine, menu lunch à composer.

Exemple de prix :
– rouleaux de printemps  (7 chf)
– poulet basilic (27 chf)
– nouilles sautées aux légumes (19 chf)
– Coca Cola 50 cl. (5.50 chf)
– café (3.70 chf)

6 décembre 2022.

Mardi midi, en solo, 12h45, sans réservation.

Sans savoir pourquoi, je ne suis pas venu souvent chez eux, c’est pourtant très bien placé et j’avais beaucoup, mais vraiment beaucoup l’opportunité d’y aller.

Un service asiatique, sympathique, parlant francophone, c’était correct,

En entrée, une entrée du jour,  un nem (5 chf). Il était petit avec une farce un peu sèche, mais aussi moins gras, probablement fait maison. Feuille de salade iceberg bien fraîche, feuilles de menthe,

Il était vraiment petit, moité moins volumineux que les industriels. Pour une thune, certains diront que c’est extrêment cher, certains diront être prêts à payer plus pour du fait maison.

Chinatown, Lausanne

Parmi les entrées, j’ai remarqué les seiches à l’ail et piment (14 chf) qui m’ont donné envie. Je pensais qu’ils seraient frits, mais c’était un peu idiot, car ce n’était pas écrit. Un peu déçu, mais ce n’était pas mauvais, sans être particulier, les seiches qui étaient il me semble des supions, étaient sautés avec un peu d’ail et du piment, mais ce n’était pas du tout piquant.

Chinatown, Lausanne

Surprise avec le boeuf croustillant (30 chf) qui était préparé différemment de la concurrence. D’habitude, ce sont des fils de boeuf presque secs et très croquants. La recette du Chinatown est beaucoup moins croquante, un peu croustillant, parfois un peu trop mou, mais on sent plus le boeuf qui faut un peu mâcher.

Le riz nature (2.50 chf) était plutôt bon, peut-être légèrement sec, une portion correcte.

Chinatown, Lausanne

Pour résumer, je le trouve pas mal, ce n’est pas mon chinois favori, mais il est assez satisfaisant pour y retourner et tester plus profondément le reste de la carte.

2 entrées, 1 plat, 2 riz, 1 minérale, 1 café : ~ 60 chf. pour une personne.

Chinatown
Rue Grand-Saint-Jean 1
1003 Lausanne
+41 21 312 39 34
www.restaurantchinatown.ch

Crédit photo : foodaholic